"A son cœur salit ne restent que les nuits moites du mois de
juillet
A ses joues sillonnées sous les cils elle applique un cache
misère en poudre de rien
A ses mains qui ne caressent plus rien même pas l’espoir
elle met des gants d’ortie
A ses lèvres gercées par la bruine elle esquisse des baisers
de vent
A son cou solitaire elle pare des colliers d’eau salée
A ses yeux nostalgiques elle voile les sourires d’ivoire"
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