16 juin 2010

. et je lève mon verre au bonheur et à ce sentiment que je ne veux jamais me voir retiré

Ca se résume à peu de choses. Les heures passées dans tes bras qui défilent, qui s'égrainent à une vitesse vertigineuse. Je n'ai jamais mon content de toi. J'en voudrais toujours plus, encore, un peu. Contre toi j'oublie le reste du monde, les soucis deviennent futiles, ne restent que tes yeux. Et ta voix, tes "je t'aime" et tous les surnoms qui me semblaient niais et qui, lorsqu'ils viennent de toi prennent tout leur sens. Voila en fait c'est ça. Avec toi tout prend un sens.
Je crois que je ne suis pas douée pour parler d'amour. Peut être parce que c'est une chose qui se passe de mot. Elle n'en a pas besoin. Un peu comme lorsque je suis avec toi, nous nous suffisons à nous mêmes.
Et dans ces moments là je ne doute de rien. Je me content de te regarder sourire en souriant. Et qu'est ce qu'on est niais. Mais ça se savoure finalement la niaiserie.

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