18 avr. 2010

.your silences are knives in my stomach

Aucune musique ne peut enlever ton nom de ma tête, les mots d'amis n'effacent pas les mots d'amour que j'aimerais t'entendre dire. Le lit est défait, depuis ton départ il reste trop vide, j'en viens à le haïr. Ton corps, tes bras, ton souffle. Où es-tu? Des voix se brisent sur des mots qui se calent sur mes larmes, les pianos, les guitares semblent ajouter un peu de plomb au fond de mon ventre, au fond de mon coeur. Où est-tu? Est-ce si facile de regarder la neige sans penser à mon sourire, de rire, d'avoir froid, de tomber sans penser à la dernière fois où tu m'as fait l'amour? A quoi tu penses quand tu me laisses dans l'attente d'une preuve que tu m'aimes, que je te manque, que tu me voudrais avec toi? Est-ce que tu penses au moins à moi ou bien n'y penses-tu que lorsque je suis là parce que je suis là et que tu voulais quelqu'un, quelqu'un qui soit là...